J'ai pris Maura dans mes bras, lui ai souhaité le meilleur et suis rentrée chez moi avec un vrai sentiment d'impuissance, me disant que ce qui lui arrivait aurait pu être évité, si seulement elle avait pu faire son test de dépistage du VIH plus tôt.
En vaccinant les jeunes filles et en proposant un dépistage et un traitement le plus tôt possible, nous offrons bien plus que de l'espoir : nous empêchons le cancer du col de l'utérus d’évoluer pour que davantage de femmes comme Maura aient une chance de survivre.
Aujourd'hui, même si la situation s'est légèrement améliorée, il reste encore beaucoup à faire.
*Nom d'emprunt